Nous ne sommes pas fabriqués dans un moule ou rien ne doit apparaitre.

c'est une blessure qui vient, qui finira par disparaitre. L'être humain est ainsi fait. J'ai cru que tout allait bien, comme quoi croire n'est jamais une réalité. Ainsi son faites nos épisodes de vie, et nous ne sommes pas fabriqués dans un moule ou rien ne doit apparaitre.

Nos vies à tous, ma propre vie contient tant d'émotions qui quelques fois s'approchent d'une grande blessure qui saigne à l'intérieur puis à l'extérieur , voir un peu entre les larmes qui font briller le regard.

Il devient resplendissant ce regard avec des larmes qui coulent à peine.

J'écris, je ne vais pas relire ce que j'écris. J'écris une peine éfilée, avec beaucoup d'espoir .

Puis on le sait, la blessure, finira par se divertir avec la vie, et deviendra plus tendre. On n'oubliera pas, mais on vivra avec , il y'aura un vide qui ne fait plus mal, juste une absence, sûrement  des souvenirs.

Je crois. Je ne suis sûre de rien, je sais juste que rien n'est fait par hasard.

Dans la blessure, je dis al hamdoullillah. C'est ce qui est écrit.

Il y avait deux routes à prendre, celle qui est directe et celle qui bifurque.

Celle qui est directe a des complications, des imperfections, mais avec notre persévérance elle nous mène au bien être.

Celle qui bifurque a tellement de bifurcations qu'elle nous fait toujours faire des cercles jusqu'à revenir au point initial, ou nous fait reculer, et nous perdons toute notre persévérance.

Mais nous avons le choix d'aller vers celle qui nous convient.

La journée se termine pour laisser place à la nuit. La nuit ou le sommeil devient de plus en plus léger. Des pensées s'attardent dans ces insomnies devenant de plus en plus longues. Je tourne d'un côté vers un autre plusieurs fois tentant de relâcher la pression, cherchant  une fatigue. Mais la douleur est aussi flambante qu'un feu violent.

La fatigue finira par prendre le dessus. C'est logique.

Dans cette épreuve de vie que je traverse, je dois atteindre une sérénité.

Je vais lire le coran , la blessure prendra un autre sens , finira par s'apaiser . 

Ainsi j'avance sur une blessure encore à vif 

Altifa